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LYDIA passe au BLE

Après les QR codes, LYDIA passe au Bluetooth Low Energy (BLE) : un moyen pour cette start-up française de se positionner sur un marché encore naissant et de se démarquer ainsi de ses nombreux concurrents.

LYDIA compte sur le Bluetooth, disponible sur la plupart des smartphones, pour développer l’adoption de son service de paiement et de transfert d’argent de personne à personne. Une phase de test de deux mois a été réalisée, au cours de laquelle cette technologie a été utilisée pour permettre aux téléphones de communiquer à distance les informations de paiement. La start-up l’envisage en complément des QR codes pour sa solution. Pour l’heure, il s’agit d’une option dévoilée à l’occasion des mises à jour de son application sous iOS et Android.

Autre avancée, son application est décrite comme « cross-OS », c’est-à-dire qu’elle offre par exemple la possibilité d’effectuer un règlement depuis un smartphone sous Android vers un iPhone.

Les utilisateurs sont invités à tester la nouvelle fonctionnalité « Payer par Bluetooth », grâce à la détection automatique des contacts capables de recevoir des paiements LYDIA à proximité du payeur.

Notre Analyse : LYDIA voit encore plus grand

En début d’année, LYDIA s’exprimait sur son ambition de conquérir le marché français des paiements mobiles. Entre juillet et décembre 2013, la start-up est parvenue à attirer 10 000 utilisateurs.

Elle mise depuis son lancement sur une approche multi-technologies pour fédérer les utilisateurs (QR codes, e-mails, SMS). Séduite par le caractère « universel » du BLE, elle l’ajoute désormais à son arsenal (Observatoire de janvier 2014).

Elle devra néanmoins composer avec une concurrence bancaire de plus en plus investie sur ce secteur, comme en témoignent le lancement récent de Fivory par le Crédit Mutuel-CIC, tout comme celui de Paylib par BNP Paribas, La Banque Postale et Société Générale en 2013. Observatoires de septembre 2013 et avril 2014