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Fin de service pour Buyster

Fin de service prévue le 30 juin prochain pour Buyster, le portefeuille électronique des opérateurs historiques français… Entre diffusion et adoption insuffisantes, ses fondateurs ont tranché.

Cette décision s’explique par ses faibles taux d’adoption : après deux ans, ce wallet n’est parvenu à fédérer que 300 000 utilisateurs, pour 40 000 transactions par mois. Des chiffres loin d’être à la hauteur des ambitions d’Atos, Orange, SFR et Bouygues Telecom, qui comptaient sur 5,2 millions de transactions par mois d’ici 2016, soit 10 % des volumes de paiement en e-commerce.

Buyster aurait également souffert d’un modèle que les opérateurs jugent plus adapté aux marchés de niche qu’à une adoption de masse.

Une campagne d’information est en cours pour avertir les commerçants et clients finaux.

Notre Analyse : Victime d’un marché en construction…

Pour Buyster, la notion de confiance était l’argument principal pour séduire les porteurs, grâce à l’absence de saisie des données cartes sur de multiples sites d’e-commerce.

Cette décision contraste avec les évolutions constatées sur le marché britannique notamment. Paym y a récemment été lancé et le succès de Pingit ne se dément pas. A la différence de ces initiatives « bancaires », Buyster était porté par des opérateurs mobiles : un frein supplémentaire ?

Fin 2013, Buyster communiquait sur le développement de son réseau d’acceptation auprès des grands noms de l’e-commerce français (RueDuCommerce, MisterGoodDeal, PriceMinister, Cdiscount, ShowRoomPrivé, Monoprix, LeroyMerlin, etc.) et annonçait sa compatibilité avec les plates-formes Be2Bill, Ogone et Payzen.

Notre Analyse : Victime d’un marché en construction…

Pour Buyster, la notion de confiance était l’argument principal pour séduire les porteurs, grâce à l’absence de saisie des données cartes sur de multiples sites d’e-commerce.

Cette décision contraste avec les évolutions constatées sur le marché britannique notamment. Paym y a récemment été lancé et le succès de Pingit ne se dément pas. A la différence de ces initiatives « bancaires », Buyster était porté par des opérateurs mobiles : un frein supplémentaire ?

Fin 2013, Buyster communiquait sur le développement de son réseau d’acceptation auprès des grands noms de l’e-commerce français (RueDuCommerce, MisterGoodDeal, PriceMinister, Cdiscount, ShowRoomPrivé, Monoprix, LeroyMerlin, etc.) et annonçait sa compatibilité avec les plates-formes Be2Bill, Ogone et Payzen.