Logo

Site non disponible sur ce navigateur

Afin de bénéficier d'une expérience optimale nous vous invitons à consulter le site sur Chrome, Edge, Safari ou Mozilla Firefox.

adnews

Partenariat entre MasterCard et Everything Everywhere

  • MasterCard s’associe à l’opérateur télécom britannique Everything Everywhere (JV formée par Orange et T-Mobile) en vue de développer une suite dédiée au m-paiement. Un partenariat exclusif d’une durée de cinq ans a été signé pour permettre le déploiement de services NFC, puis de transferts P2P et de fidélisation.
  • MasterCard accède ainsi à une base de 27 millions de clients Everything Everywhere au Royaume-Uni. Parmi les travaux en cours, les partenaires se pencheraient notamment sur une application mobile cobrandée en mode prépayé ; cette option pourrait séduire des utilisateurs peu enclins à lier leurs comptes bancaires à un portefeuille mobile et favoriser ainsi l’adoption du paiement mobile en général.
Source : Communiqué de presse
  • Cet accord s’inscrit dans la lignée d’un partenariat impliquant Orange et Barclaycard autour de la solution mobile baptisée Quick Tap (voir l’Observatoire d’avril 2012). Par ailleurs, l’acceptation mobile faisant partie de leurs objectifs à plus long terme, MasterCard pourrait aussi uniformiser ses processus de vente d’un canal à l’autre.
  • Comme les réseaux rivaux, MasterCard multiplie les partenariats avec des opérateurs : en juillet, il s’associait à Deutsche Telekom (voir l’Observatoire de juillet 2012) et renforçait ses liens avec Turkcell.
  • Sur le marché britannique, cet accord pourrait aussi faire de l’ombre à l’initiative d’O2 (filiale de Telefónica) qui depuis avril dernier propose O2 Wallet, affilié à Visa, présentant des fonctionnalités proches (voir l’Observatoire de mai 2012) ou bien encore à Pingit de Barclays (voir « Barclays ouvre Pingit à l’international » dans cette édition).
  • Enfin, en juin 2011, Everything Everywhere, O2 et Vodafone se sont aussi investis dans le projet « OSCar », coentreprise dont les travaux ont été différés dans l’attente des résultats d’une enquête menée par la Commission Européenne. Ces retards n’empêchent cependant pas ces acteurs de poursuivre leurs recherches et de prendre place sur l’acceptation mobile par d’autres moyens.